Dâavoir fait ce titre il y a 3 jours
Un week-end sous haute tension âĄïž
đUn week-end marquĂ© par la dualitĂ© entre ma connexion
Avec un monde plus grand et Ă©levĂ©đ,
Et ma difficultĂ© Ă l’incarner dans la rĂ©alitĂ© matĂ©rielle.
Mon corps a été mis à terre.
Cette dualitĂ© s’est intensifiĂ©e au fil des deux jours,
Me poussant à me réfugier là -haut,
OĂč je me sens bien et chez moi dans ma famille đĄ.
Aujourd’hui encore,
Je n’arrive toujours pas Ă transposer
Ce que je reçois d’en haut sur cette terre đ.
C’est comme avoir une clĂ© sans trouver la serrure qui lui correspond.
đPendant les transmissions de Munay-Ki,
Cette dualitĂ© s’est exprimĂ©e si violemment dans mon corps,
Que je nâai pu ĂȘtre dans l’accueil.
Je pensais que ces transmissions m’aideraient Ă concilier ces deux mondes.
Je vis ce qui mâest offert comme un cadeau đ,
Et aussi comme un poids de ne pas savoir comment m’y prendre
Avec le monde d’en haut et celui d’ici đ.
La tristesse ressentie lors de la deuxiÚme journée
N’Ă©tait pas liĂ©e Ă la douleur physique persistante,
Mais au message de mes guides :
« Tu prives le monde de qui tu es. »
Un coup de poignard dans mon cĆur đ,
Car ma mission ici est d’accompagner
Ceux qui le souhaitent
A retrouver la voie de l’Ă©panouissement, de la joie et de la paix intĂ©rieure.
Aujourd’hui, je me trouve face Ă un dĂ©fi essentiel
Pour mettre fin à ce déchirement intérieur.
đIl me faut trouver des moyens concrets d’exprimer et de vivre ma spiritualitĂ©
Dans ce monde matériel,
Bien au-delĂ de tout ce que j’ai accompli jusqu’Ă prĂ©sent.
Au-delà de ma propre expérience,
Je rĂ©alise l’importance cruciale du choix
Dâespaces de dĂ©veloppement personnel
SĂ©cures, respectueux, bienveillants, sans jugement et plein dâhumanitĂ© đ.
Chez Oowake Chamanisme,
đCâest une rĂ©alitĂ©,
Ce qui mâa aussi permis
De ne pas avoir une lutte intérieure supplémentaire
Pour donner au mieux le change.
đUn immense merci Ă Karine, Sylvain,
Au groupe de ce week-end
De m’avoir accueillie le dimanche,
Telle que j’Ă©tais, loin d’ĂȘtre dans ma pleine lumiĂšreâš.