đ€ Jâai toujours Ă©tĂ© tournĂ©e vers les autres, au point de ne pas penser Ă moi-mĂȘme.
Et comme personne ne se plaignait, bien au contraire, et que cela comblait mes manques, je ne m’interrogeais mĂȘme pas Ă ce sujet. Depuis, j’ai rĂ©tabli l’Ă©quilibre dans ma vieđ.
J’en Ă©tais arrivĂ©e au point oĂč jâĂ©tais incapable de demander de l’aide lorsque j’en avais vraiment besoin, et je ne savais pas comment accepter celle qui parfois m’Ă©tait offerte (je me refermais sur moi-mĂȘme avec un autre visage).
Demander de l’aide, pour moi, signifiait :
đčNe pas ĂȘtre capable de me dĂ©brouiller seule, ce qui impliquait de ne pas ĂȘtre autonome et donc, par extension, de ne pas avoir de valeur.
đčĂtre perçue comme faible et vulnĂ©rable.
đčPrendre le risque de ne pas ĂȘtre aimĂ©e, car ce n’Ă©tait pas moi qui comblais les besoins, exprimĂ©s ou non dâailleurs, des autres.
đIl a fallu un accident de la vie pour que je rĂ©Ă©value cette croyance profondĂ©ment ancrĂ©e en moi. Aujourd’hui, mĂȘme si ce n’est pas encore un rĂ©flexe, je continue Ă m’amĂ©liorer.
Barack Obama exprime cette notion magnifiquement, alors je vous laisse découvrir ses paroles :
« N’ayez pas peur de poser des questions. N’ayez pas peur de solliciter de l’aide quand vous en avez besoin. Je le fais tous les jours. Demander de l’aide n’est pas un signe de fragilitĂ©, c’est une marque de courage, car cela montre que vous avez la bravoure d’admettre que vous ne savez pas quelque chose, et cela vous permet d’apprendre quelque chose de nouveau. »
Pour moi, cela s’applique dans tous les aspects de la vie. Et vous, comment percevez-vous le fait de demander de l’aide ? đŹ
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